- Dolce… (2000)
Répète les procédés désastreux des documentaires précédents : Vostochnaya elegiya (1996), Robert. Schastlivaya zhizn (1997) et Povinnost (1998). Sans intérêt.
Sens Critique
- Svadba (2000) – La noce
Le thème de ce film reprend celui de Russkaya svadba XVI stoletiya en 1909 ! Mais on se rend compte très rapidement qu’il s’agit d’un film sponsorisé par des institutions françaises et donc sans intérêt [06’12].
Sens Critique
- Elegiya dorogi (2001) – Élégie de la traversée
Je boycotte cette énième élégie co-produite par Arte.
Sens Critique
- Prevrashchenie (2001) – La métamorphose – 0/3
Cette adaptation réaliste transforme l’angoisse en une farce grossière.
Sens Critique
- Syostry (2001) – Sœurs
Bof ! Ni la mise en scène ni le jeu des acteurs m’incitent à laisser tomber ce thriller [18’28].
Sens Critique
- Telets (2001) – Taurus
Il s’agit davantage d’une réflexion, ennuyeuse, sur la décrépitude de la vieillesse à la veille de la mort que le récit des derniers jours de la vie de Lénine.
Sens Critique
- Chekhovskie motivy (2002)
J’abandonne rapidement car cette adaptation théâtrale et bavard contient trop de dialogues répétitifs [15’53].
Sens Critique
- Dom durakov (2002) – La maison de fous
L’atmosphère de cet hôpital psychiatrique est plus tragique que comique. Du coup, la guerre paraît une folie normale.
Sens Critique
- Kukushka (2002) – The Cuckoo
J’abandonne au bout de 30 minutes, car je ne comprends rien à cette romance… vaseuse.
Sens Critique
- Oligarkh (2002) – Un nouveau Russe
J’abandonne film, sponsorisé par des institutions, après la scène de sexe aussi convenue qu’inutile [16’36]
Sens Critique
- Russkiy kovcheg (2002) – L’Arche russe
Ce film, sponsorisé par des institutions, sent le chloroforme car il exprime un point de vue très théâtral de la Russie [14’16], un théâtre d’ombres qui se joue dans les coulisses. Quant à l’hommage muséographie, il est préférable d’aller à Saint-Pétersbourg pour admirer les oeuvres de l’Ermitage. Comme d’habitude, le réalisateur use et abuse des discours aussi vides que prétentieux.
Sens Critique
- Russkiy kovcheg (2010) – L’Arche russe [Cours de cinéma par Diane Arnaud]
Une analyse de l’esthétique du film que les fans apprécieront probablement.
- Russkiy kovcheg (2012) – L’Arche russe [Ciné-Club par Jean Douchet]
Fait une éloge hagiographique du film sans dire grand-chose sinon célébrer avec emphase la mythique « âme russe ».
- Voyna (2002) – La guerre
Dès la première scène, j’ai l’impression de voir un mauvais film américain sur une des nombreuses guerres engagées depuis 1945, J’abandonne après la baignade forcée de Margaret, la fiancé de John [13’20]. Babel reprendra une histoire d’un couple très proche de celui-ci.
Sens Critique
- Zvezda (2002) – L’étoile
Ce énième film russe sur la Seconde Guerre mondiale ne m’intéresse pas une seconde et d’autant moins qu’il est sponsorisé par le Ministère de la culture.
Sens Critique
- Koktebel (2003)
Dès les premières images, on sait que le film sera raté. J’abandonne donc rapidement [09’31]. Bon courage à ceux qui iront plus loin !
Sens Critique
- Otets i syn (2003) – Père, fils
Je n’arrive pas à entrer dans ce film, sponsorisé par des institutions, car je vois deux frères et non un père et son fils. Aleksei Neymyshev, qui joue le rôle du fils né le 11 mars 1982, a 21 ans,. Je n’ai pas trouvé la date de naissance d’Andrei Shchetinin, qui joue le rôle du père, mais il semble avoir à peine une dizaine d’années de plus.
De toute façon, les situations artificielles et les bavardages m’exaspèrent rapidement [10’50].
Sens Critique
- Posledniy poezd (2003)
La très belle photographie d’Oleg Lukichyov ne suffit pas à retenir l’attention d’un film qui traîne désespérément en longueur sans aller nulle part.
- Starukhi (2003) – Les petites vieilles
Le numéro d’un homme, arrivé de Moscou dans un char d’assaut, ne présage rien de bon [13’29]. J’abandonne car ses discours pseudo-philosophiques m’énervent [21’12] !
Sens Critique
- Vozvrashchenie (2003) – Le retour
On reste un peu sur sa faim. On ne sait rien du passé de cet homme ni ce que contient cette boîte qu’il cherche fébrilement dans l’île.
Sens Critique
- Alyosha Popovich i Tugarin Zmey (2004)
Dans ce dessin animé les Mongols sont largement caricaturés par les habitants de Kiev.
Sens Critique
- Nastroyshchik (2004) – L’accordeur
Tout le film est prétentieusement artificiel [11’04]… et terriblement bavard [17’46].
Sens Critique
- Nochnoy Dozor (2004) – Night Watch
Une mise en scène intéressante, mais au service d’une histoire réactionnaire.
Sens Critique
- Peterburgskiy dnevnik: Mozart. Rekviem (2004)
Tout est mauvais, la mise en scène, les voix et l’orchestre.
Sens Critique
- Shiza (2004) – Shizo
Ce film, sponsorisé par des institutions (Russie et France), sur le milieu de la boxe ne m’intéresse pas.
Sens Critique
- 9 rota (2005) – La 9ème compagnie
J’abandonne juste avant le générique [07’48].
Sens Critique
- Italianetz (2005) – L’Italien
J’ai envie d’abandonner après la confession de la femme qui a abandonné son enfant et ne peut plus le récupérer [22’56]. J’abandonne avant de savoir ce que deviendra Vanya dans sa famille d’adoption [31’04].
Sens Critique
- Solntse (2005) – Le soleil
L’intérêt de ce film est inversement proportionnel au nombre d’institutions qui l’ont sponsorisé.
Sens Critique
- 977 (2006)
D’emblée, la platitude de la mise en scène me rebute.
Sens Critique
- Dnevnoy Dozor (2006) – Day Watch
La mise en scène devient de plus en plus hollywoodienne…
Sens Critique
- Eyforiya (2006) – Euphoria
Superbes vues panoramiques à rebours du déplacement de l’homme vers la femme. L’intérêt du film s’arrête là. Qu’importe le chemin quand on va nulle part…
Sens Critique
- Gadkie lebedi (2006) – De vilains petits canards
D’emblée, le jeu de Gregory Hlady dans un film, sponsorisé par des institutions (Russie et France), n’est pas du tout convaincant.
Sens Critique
- Izgnanie (2006) – Le bannissement
On nous sert la soupe chrétienne orthodoxe en faisant lire à une gamine l’épître de Paul aux Corinthiens : Quand je parlerais les langues des hommes et des anges, si je n’ai pas l’amour, je suis un airain qui résonne, ou une cymbale qui retentit. Et quand j’aurais le don de prophétie, la science de tous les mystères et toute la connaissance, quand j’aurais même toute la foi jusqu’à transporter des montagnes, si je n’ai pas l’amour, je ne suis rien. Et quand je distribuerais tous mes biens pour la nourriture des pauvres, quand je livrerais même mon corps pour être brûlé, si je n’ai pas l’amour, cela ne me sert de rien.
Sens Critique
- Ostrov (2006) – L’île
La beauté des images ne compense pas le vide d’un propos centré sur les superstitions religieuses.
Sens Critique
- Svolochi (2006) – Bastards
Je décroche rapidement car ce film est trop bavard [11’42].
Sens Critique
- Zhivoy (2006) – Vivant
Cette histoire de fantômes sur fond de guerre en Tchétchénie n’est pas convaincante.
Sens Critique
- 12 (2007)
Ce film est bavard, terriblement bavard – le pire défaut au cinéma – et donc terriblement ennuyeux d’autant que le dispositif scénique est théâtral.
Sens Critique
- Aleksandra (2007) – Alexandra
Je boycotte ce énième film, sponsorisé par des institutions, du réalisateur dont je prévois ses roublardises.
Sens Critique
- Gruz 200 (2007)
Ce film aurait pu reconstruire sur le mode de l’humour noir l’état d’esprit de certains russes quelques années avant l’implosion de l’URSS, mais il s’enlise dans dans d’interminables bavardages.
Sens Critique
- Puteshestvie s domashnimi zhivotnymi (2007)
Je n’arrive pas à entrer dans cette histoire d’une femme qui “découvre l’amour” à 35 ans alors que l’actrice maintient son expression de souffre-douleur.
- Rusalka (2007)
Le générique très original annonce un film… qui ne tient pas ses promesses. L’histoire se dilue petit à petit et perd tout intérêt après l’éclipse de soleil [19’33].
Sens Critique
- Sluga Gosudarev (2007) – Fantassins : Seuls en première ligne
Un bon film d’aventure et certainement meilleur en VOSTFR.
Sens Critique
- Zheleznaya doroga (2007) – The Railway
La nostalgie poétique d’une locomotive à vapeur ne fonctionne pas. Il reste de belles images de la steppe.
- Admiral (2008)
La romance ruine rapidement cette biographie hollywoodienne.
Sens Critique
- Bumazhniy soldat (2008) – Le soldat de papier
Terriblement bavard et donc terriblement ennuyeux. Chulpan Khamatova, qui a le rôle convenu de l’épouse trompée, ne sauve pas ce film de l’ennui [15’01].
Sens Critique
- Domovoyt (2008) – The Ghost
Chulpan Khamatova, qui n’a qu’un rôle accessoire de faire-valoir, ne sauve pas ce thriller de l’ennui [14’56].
Sens Critique
- Morfiy (2008) – Morphine
Cette adaptation d’une nouvelle autobiographique de Mikhail Bulgakov qui, médecin au bout du monde, est devenu morphinomane n’est pas géniale. L’intérêt diminue après la scène inutile d’une fellation [1h19].
Sens Critique
• Mikhaïl BOULGAKOV, Morphine, [Partage en ligne].
- Okean (2008) – Océan
Ce film est aussi déplaisant que Jorge Luis Castro (trop narcissique) car il rassemble tous les clichés sur Cuba y compris l’inévitable Malecón.
Sens Critique
- Pesni juzhnykh morejt (2008) – Chant des mers du sud
Les bonnes intentions font rarement de bons films. Cette co-production Russie-France-Allemagne sous l’égide d’Arte sent d’emblée l’arnaque bien pensante.
Sens Critique
- Stilyagi (2008) – Les zazous
Ce film revisite l’URSS des années 1950 dans la Russie de 2008. Cette reconstitution est très hollywoodienne sur la forme et le fond. Maus j’avoue avoir un préjugé défavorable des comédies musicales… de tous les pays.
Sens Critique
- Taras Bulba (2009) – Barbarians
Malgré les idéologies nationaliste et chrétienne orthodoxe, c’est un bon film d’aventure.
Sens Critique
- The Last Station (2009) – Tolstoï, le dernier automne
Remake d’Ukhod velikogo startsa. La mise en scène hollywoodienne de la Russie au début du XXe siècle est sans intérêt. Les acteurs ne sont pas bons. James McAvoy ne convient pas dans le rôle de Valentin Fedorovitch.
Cette phrase, dans la bouche de la comtesse Sofya Andreïevna, est totalement anachronique : « Ce n’était pas difficile au lit quand on était devant Dieu » [43’56].
La scène avec Masha est aussi invraisemblable que ridicule [49’12-51’30]. Elle est suivie d’une scène de sexe racoleuse, reprise par l’affiche
Sens Critique
- Tzar (2009) – Tsar
Moins austère que Ostrov (2006), ce film à grand spectacle construit une histoire très religieuse de la Russie tsariste conforme aux croyances du réalisateur émigré en France depuis 1990.
Sens Critique
- Volchok (2009) – Toupie
J’abandonne rapidement ce film qui sent la merde [14’29].
Sens Critique
- Ovsyankik (2010) – Le dernier voyage de Tanya
Le traitement de cette histoire, intéressante sur le fond, est si rébarbatif que j’abandonne rapidement [13’10]. Sens Critique
Pour en savoir plus sur les Mériens :
• Charles ROMEY, Alfred JACOBS, La Russie ancienne et moderne d’après les chroniques nationales et les meilleurs historiens, 1855 [Partage en ligne].
• Alexis UVAROV, Étude sur les peuples primitifs de la Russie – Les Mériens, 1875 [Partage en ligne].
- Susa (2010)
Cet histoire d’un adolescent, qui trafique de la vodka à la petite semaine, ne va nulle part.
Sens Critique
- Utomlennye solntsem (2010) – Soleil trompeur
Cette suite, suivie d’une autre et d’une série sur le même thème, est le signe d’un bégaiement sénile.
Sens Critique
- Yaroslav – Tysyachu let nazadk (2010) – Prince Yaroslav
Le jeu des acteurs n’est pas toujours à la hauteur du sujet.
Sens Critique
- Elena (2011)
Je n’arrive pas à entrer dans de film qui commence par une série de plan fixes et enchaîne sur le lever de la protagoniste principale, la préparation de son petit-déjeuner, etc. Pas passionnant. La suite fait l’éloge du crime féministe !
Sens Critique
• Osez le crime féministe !, Monde en Question
- Faust (2011)
Adaptation ésotérique conforme au maniérisme du réalisateur.
Sens Critique
- Raspoutine (2011)
L’essentiel du film se concentre sur l’assassinat de Raspoutine et sombre dans une version grand-guignolesque qui accrédite la version légendaire de l’histoire.
Sens Critique
- Sibir. Monamur (2011) – Sibérie, monamour
J’abandonne ce film qui ne va nulle part [28’30].
Sens Critique
- Les contes de Masha (2012) (26 épisodes)
Lamentable ! Masha est devenue une marque pour vendre des adaptations désespérément nulles de contes classiques… .
Sens Critique
- Romanovy (2013) – Les Romanov, histoire d’une dynastie (8 épisodes)
Ce docu-fiction, très superficiel et anecdotique, accumule des dates (avec une précision à la minute pour un événement) et des noms sans jamais faire d’analyse. Au contraire, il crédibilise une prophétie…
Sens Critique
- Stalingrad (2013)
Quinze premières minutes, un spectacle hollywoodien de la guerre sous la forme d’un déluge de feu. Puis le film vire à la romance aussi mièvre qu’improbable. Sans intérêt.
Sens Critique
- Leviafan (2014) – Leviathan
4 films pour le prix d’un : la corruption politique, la corruption des mœurs, la pollution et le message final « Dieu est la vérité ». Un trop long sermon : « Chaque homme doit défendre son sens de la justice, son sens de Dieu sur Terre ».
Sens Critique
- Bitva za Sevastopol (2015) – Résistance
Cette biographie de Lioudmila Pavlitchenko, sponsorisée par des institutions, est trop hollywoodienne pour susciter un quelconque intérêt.
Sens Critique
- Savva. Serdtse voina (2016) – L’incroyable destin de Savva
Cette animation russe ressemble à celles des studios Disney – ni pire ni meilleure.
Sens Critique
- Volki i ovtsy. Beeezumnoe prevrashchenie (2016) – Gris, le (pas si) méchant loup
Cette animation russe ressemble à celles des studios Disney – ni pire ni meilleure.
Sens Critique
- Papa, sdokhni (2018) – Why Don’t You Just Die!
Ce film débile ne mérite pas plus de quelques secondes d’attention.
Sens Critique
- Malchik russkiy (2019) – Une jeunesse russe
L’alternance des images du film et celles de la répétition d’un orchestre et le mélange des bandes son est totalement incongrue et crée une cacophonie.
Sens Critique
Commentaires 2-3 Cinéma Russie 2000-2019
Cycle Cinéma Russie 2000-2019
Les meilleurs films visionnés (2/3 ou 3/3)… susceptibles de déplaire à d’autres :
Liens de tous les films, Monde en Question
Lire : Ciné Monde
Ce film, bien que sponsorisé par des institutions (Russie et France), mérite une palme car il décrit de manière quasi ethnographique la vie quotidienne de petites gens dans le contexte de la Russie des années 2000 lors de la guerre en Tchétchénie.
Sens Critique
Lire : Ciné Monde
Cette mini série se distingue de tous les films antérieurs sur la Seconde guerre mondiale par une approche non héroïque, mais terriblement pragmatique. La guerre utilise tous les hommes quelques soient leur opinion ou leur croyance. Les criminels de mêlent aux opposants politiques et les têtes brulées aux trouillards car ils sont tous de la chair à canon condamnés à se battre pour survivre.
La série se termine par un hymne à la terre russe célébré par un pope !
Sens Critique
Vyacheslav Batrakov illumine la noirceur poétique de ce film étrange.
Sens Critique
Ce faux documentaire est intéressant car la mise en scène est aussi originale que loufoque.
Sens Critique
Un conte poétique magnifiquement servi par le graphisme.
Lire : Ciné Monde
Dans ce superbe dessin animé les Mongols sont caricaturés par les habitants de Kiev.
Sens Critique
La poésie du dessin renforce celle de l’histoire.
Sens Critique
Une très belle animation qui reste énigmatique jusqu’à la fin.
Ciné Monde
Ciné Monde
Ce film, sponsorisé par diverses institutions dont Arte, raconte une histoire tristement banale sur fond d’exotisme avec une chanson américaine comme leitmotiv. J’ai aimé la description de la vie quotidienne dans les steppes kazhakes même si je doute de son authenticité de certaines scènes, sauf celle de la mise à bas d’un agneau [1h11-1h19], et l’absence de happy end.
Sens Critique
Dès le premier épisode, la création du russe Oleg Kouzovkov (Animaccord Animation Studio) est aux antipodes de celle de l’américain Walt Disney (The Walt Disney Company). Le format court favorise, dès le pré-générique, un rythme rapide de l’animation soutenu par la musique extradiégétique. Seule Masha parle. Les animaux s’expriment par des mimiques et des sons anthropomorphiques.
Sens Critique
• Avec 3 milliards de vues, le dessin animé Masha et Michka bat des records sur YouTube, Sputnik .
Bien que de facture hollywoodienne et dans une version VF, cette animation vaut le détour.
Sens Critique
• Hans Christian ANDERSEN, La reine des neiges, 1873 [Partage en ligne].
Lire : Ciné Monde
Bien que de facture hollywoodienne et dans une version VF, cette animation vaut le détour.
Sens Critique
• Hans Christian ANDERSEN, La reine des neiges, 1873 [Partage en ligne].
L’histoire de cette animation, très réussie sur le plan technique, est quelconque.
Sens Critique
Je suis très partagé car des aspects de cette histoire sont totalement irréalistes, mais la manière raconter l’affrontement entre les deux conducteurs de locomotive emporte l’adhésion.
Sens Critique
Cette animation vaut le détour.
04/12/2023
Serge LEFORT
Citoyen du Monde et rédacteur de Monde en Question
Lire aussi :
• Films, Ciné Monde – Chine en Question – Monde en Question.
• Livres cinéma, Ciné Monde – Chine en Question – Monde en Question.
• Index Cinéma, Monde en Question.
• Dossiers Cinéma, Monde en Question.
• Veille informationnelle Cinéma, Monde en Question.
• Revue de presse, Monde en Question.